La pêche à pied avec une épuisette.
L’observation de la pêche.
La pêche à pied avec une épuisette.
L’observation de la pêche.
Pour préparer la journée de la Saint-Patrick et décorer la classe, les élèves ont réalisé des trèfles qui sont un des symboles de l’Irlande. Pour cela, ils les ont tracés et peints en mélangeant les couleurs primaires afin d’obtenir du vert.
Nous avons commencé cette belle journée par un petit déjeuner irlandais. Au menu de l’ Irish breakfast : Pancakes, marmelade, lemon curd, strawberry jam, raspberry jam, shortbread, toasts, chocolate, milk, bacon, baked beans, tea and orange juice… Yummy !
Nous avions tous une touche de vert sur nous.
La journée s’est poursuivie par l’histoire de Saint-Patrick en anglais (et en français), la découverte des gigues et de contes irlandais. L’après midi nous avons joué au jeu de la patate chaude.
PS : Pourquoi le trèfle est-il un symbole de l’Irlande ? Demandez à votre enfant, il pourra vous répondre.
L’épreuve pratique : le passage sur piste.
L’épreuve théorique : le code de la route pour les vélos (qui avait été préparé en classe).
Bravo à tous les cyclistes, qui ont brillamment obtenu leur permis de vélo !
Pour préparer l’Avent, chaque classe a fabriqué des couronnes. Comme toujours ce sont des moments de partages et d’échanges. Tous ensemble nous avons allumé la première bougie de marche dans l’Avent.
Nous avons terminé cette marche de l’Avent avec l’école par la célébration de Noël à l’église où nous avons apporté nos couronnes. Nous avons également apporté des flammes, symbole de lumière, où nous avions écrit des messages de tolérance.
Nous sommes allés voir le spectacle de Noël.
Nous avons décoré le sapin et la cour de l’école.
Enfin nous terminons la période par la soirée de Noël que nous avons préparée en réalisant des décorations et en préparant des chants.
Joyeux Noël et bonne année !
Nous avons étudié différentes œuvres d’art dont le point commun était le mouvement (peinture rupestre, « l’homme qui marche » de Giacometti, « Nu descendant l’escalier » de Marcel Duchamp)
Nous avons ensuite réfléchi sur la question : Comment peut-on créer du mouvement ?
Nous avons conclu qu’il fallait donner une impression de dynamisme, de légèreté comme pour « L’homme qui marche » ou bien superposer plusieurs images les unes sur les autres comme pour la peinture rupestre et « Le nu descendant l’escalier ».
A partir de cette dernière conclusion, nous avons étudié le travail de Etienne-JulesMarey et Eadweard Muybridge sur la chronophotographie.
Nous avons pu constater qu’une succession d’images pouvait créer le mouvement et conclure qu’un film n’est qu’une succession de photographies (24 images par secondes).
Nous avons terminé ce travail par la réalisation de flip-books.
Comme chaque année à la fin de la première période, nous avions rendez-vous au collège Saint-Michel pour participer au cross. Pour cet événement, les élèves se sont entraînés une fois par semaine depuis le début de l’année.
Nous avons eu la chance de passer entre les gouttes. Après le pique-nique, les élèves sont allés repérer le parcours avec une enseignante d’EPS du collège. Tout de suite après l’arrivée des collégiens, les filles de CM et de 6ème ont commencé le cross. 30 minutes après, c’était le tour des garçons.
Bravo ! Car ils ont tous réussis à courir 2 000 mètres.
Cette journée a été aussi l’occasion de retrouver les anciens élèves de l’école et donc de prendre des nouvelles.
Bonnes vacances !
Dans la joie et la bonne humeur, la rentrée s’est bien passée ! Ils ont retrouvé les copains et les copines, et de nouvelles amitiés sont en train de naître.
Et bien sûr, nous nous sommes remis au travail. Bonne reprise à tous !
Nous sommes partis de la gare de Rennes à 7h52 sans pleurs (enfin pour les enfants). Nous sommes arrivés à l’heure à Paris. Beaucoup d’enfants ont découvert et expérimenté le métro. Le parcours avec les valises dans les escalators et les marches a été passé avec succès ! Nous avons pique-niqué en gare de Lyon. Le trajet entre Paris et Annecy a été un peu long mais il s’est très bien passé. Après une petite heure de route, nous sommes arrivés au chalet à 17h35.
Après l’accueil, nous avons rangé les valises, fait les lits et mis les pyjamas (enfin les enfants). Petite frustration de n’avoir pas pu gouter à la neige en arrivant mais nous nous rattraperons demain ! C’est promis !
Première journée
Nous avons commencé la journée par des jeux de neige. Au programme : descente de luge, fabrication d’igloo, de bonhommes de neige et bataille de neige. C’était très amusant ! Tout le monde a adoré. Lors de la bataille de neige, tous les enfants ont attaqués Nicolas.
Après le déjeuner, nous sommes repartis en car équipés de nos raquettes pour effectuer une balade. Celle-ci a été pleine de découvertes. Encadré par deux guides, nous avons découvert différentes traces dans la neige : de lièvres, de renards, d’écureuils.
Nous avons appris à faire la différence entre empreinte et traces. Une seule patte dans la neige correspond à une empreinte. La présence des quatre pattes correspond à une trace. La trace du lièvre est facile à reconnaitre en forme de Y. Il est appelé le lièvre variable car la couleur de son pelage change en fonction de la saison. Il est brun en été et blanc en hiver pour mieux se camoufler et éviter ses prédateurs.
Nous avons eu la chance d’observer un couple de gypaètes barbus. Ce sont des vautours, charognards, appelés briseurs d’os car ils prennent dans leurs serres les gros os et les lâchent sur les rochers pour les briser. Nous avons été surpris qu’ils puissent atteindre une envergure de 3m.
Nous avons fait une recherche sur internet pour mettre une photo d’un gypaète barbu et également de bouquetins que nous avons observé à la jumelle. Nous avons pu voir que le vieux mâle possédait de grandes cornes. Quand il ne reste plus rien à manger en hiver, les bouquetins mangent les écorces d’arbre mais aussi le lichen qui est un champignon qui vit avec une algue (symbiose).
Nous avons appris que les vieux chalets étaient construits uniquement en bois. Et que ce bois provient d’une essence d’arbre très présente en montagne, l’épicéa. Les guides nous ont montré comment les reconnaitre. L’épicéa possède des cônes (pommes de pin) dirigés vers le bas contrairement au sapin. Les aiguilles des épicéas sont positionnées dans quatre directions alors que le sapin dans deux directions seulement. Ils nous ont donné un moyen mémo-technique pour s’en souvenir : Dans « é-pi-cé-a » il y a quatre syllabes alors que dans « sa-pin » il n’y a que deux syllabes comme pour le positionnement des aiguilles.
Nous étions vraiment dans un cadre magnifique avec un joli panorama sur la chaîne des Aravis derrière laquelle se trouve le Mont-Blanc. Pour terminer la balade, nous sommes passés dans la poudreuse avec nos raquettes. C’était très amusant entre descentes sur les fesses, chutes en cascade. Après un peu plus de deux heures, les enfants étaient heureux mais fatigués.
Deuxième journée
La journée a commencé en douceur avec un diaporama sur la faune et la flore du milieu montagnard. Les enfants ont pu remémorer toutes les connaissances acquises la veille. Ils ont ainsi appris de nouvelles connaissances dont la différence entre Adret et Ubac. L’Adret est le versant le plus ensoleillé (Sud) et l’Ubac est le versant le moins ensoleillé (Nord). Ensuite, les enfants sont allés jouer dans la neige où ils ont fait des constructions : igloos, arc de triomphe …
Cette après-midi, nous avons fait une nouvelle balade en raquettes au niveau du col des Aravis sous un grand soleil. Par ce temps dégagé, nous avons pu voir parfaitement le Mont-Blanc.
Lors de cette balade, les deux guides nous ont montré de nouvelles traces de renards, d’hermine, qui chassaient les campagnols cachés sous la neige. Nous avons aussi observé aux jumelles des chamois.
Nous avons vu des couloirs d’avalanches et à cette occasion les guides nous ont montré le matériel nécessaire à prendre lors de balades en montagne l’hiver. La pelle pour creuser, la sonde pour mesurer la hauteur de neige ou repérer les victimes d’avalanches (elle mesure 2,40 m avec des marques tous les 40 cm) et le DVA (Détecteur de Victimes d’Avalanches) qui est un émetteur et récepteur d’ondes permettant de localiser les victimes d’avalanches. Les CM2 ont même eu un cours pratique avec recherche d’un détecteur enfui dans la neige.
Les enfants se sont amusés à courir dans la neige avec des raquettes. Ce sport n’est pas facile entrainant de nombreuses chutes dans la poudreuse et de nombreux fous-rires. Ils ont également pris beaucoup de plaisir à descendre de grandes pentes sur les fesses. De vrais toboggans !
Nous sommes rentrés un peu frigorifiés (de -1°C à -3°C lors de la balade) mais heureux. Après le gouter et la douche, les enfants ont lu les messages sur le journal de bord et écrit leurs cartes postales. La journée s’est finalement terminée avec un repas moules frites et glace, ce qui a plu à la majorité.
Troisième journée
La journée a commencé par une visite d’une ferme fabriquant du fromage. Nous avons pu voir les vaches dans l’étable. Elles sont rentrées entre novembre et avril, sinon elles montent aux alpages. Elles sont uniquement nourries au foin. Il y avait trois races de vaches : la Montbéliarde, la Tarine et l’Abondance.
Tout le lait de la ferme est transformé en fromage. Nous avons pu voir l’unité de production et la cave d’affinage. Ils produisent trois fromages. Le principal est le Reblochon mais ils fabriquent aussi de la Tomme et de l’Abondance.
Après la visite, nous nous sommes arrêtés à la boutique où nous avons pu goûter au lait encore tiède de la traite du matin ainsi qu’aux différents fromages. Tout le monde n’a pas aimé le lait mais les fromages ont vraiment eu un gros succès, surtout le Reblochon et l’Abondance.
Cette après-midi, il a commencé à neiger. Les enfants, grands ou petits, étaient excités comme des puces !
Nous sommes donc partis sous la neige pour notre première séance de ski de fond. Après l’équipement assez rapide, nous avons chaussé nos skis. Les enfants ont été scindés en deux groupes, les enfants ayant déjà fait du ski et les novices.
Le premier groupe a rapidement refait un point sur les fondamentaux : équilibre, chasse-neige… Puis ils sont partis faire une balade à côté du centre de l’école de ski.
Pour l’autre groupe, même programme mais sans la balade et avec plus de chutes. Néanmoins, ils se sont bien débrouillés et pourront probablement faire la petite balade demain.
Pour terminer cette première séance de ski de fond, les enfants ont joué à un épervier mais avec les skis. Ils ont beaucoup apprécié.
Enfin ce soir, la veillée est conte animé par les moniteurs du centre.
Quatrième journée
Le séjour sera passé à toute vitesse !
Nous avions normalement un temps de classe ce matin mais comme nous avions eu de la neige hier, j’ai préféré que les enfants profitent encore d’une matinée luges et batailles de boules de neige.
Ils ont tous été d’accord avec ma décision, je ne comprends pas pourquoi !
La construction de l’igloo a bien progressé mais ne sera pas terminé. Nous le laisserons au prochain groupe d’enfants. Les descentes en luges ont été différentes dans la poudreuse. Nous étions recouvert de neige. Quelques enfants ont fait des anges dans la neige.
Et comme d’habitude, les premières victimes des batailles de boules de neige ont été Nicolas et Tarley. Mais rassurez-vous nous nous sommes défendus.
Cette après-midi, départ à 13h pour la dernière séance de ski de fond. Comme hier, la classe a été scindée en deux. Chaque groupe a pu faire une balade en fonction de leurs niveaux. Toscane nous a fait une grosse peur en chutant mais tout se termine bien.
Pour preuve, elle danse à la boum organisée pour la fin du séjour. Les enfants sont en sueur à force de danser comme des fous. Nicolas est même allé sur scène pour danser la Macarena.
Nous sommes tous ravis de ce séjour à la neige mais nous avons également tous hâte de rentrer pour vous raconter toutes nos aventures.
Certains enfants étaient un peu tristes de quitter le centre et les animateurs, mais ils étaient aussi impatients de rentrer.
Nous avons eu la chance de rencontrer l’illustratrice, Marjorie Béal, à la médiathèque.
Nous avions découvert avant la rencontre un livre qu’elle avait illustré : « Une marée noire : 1978, le naufrage de l’Amoco Cadiz de Marie Fouquet et Marjorie Béal».
Nous nous sommes alors posés des questions sur son métier et comment elle avait pu créer les illustrations. A partir de nos connaissances, nous avons pu émettre des hypothèses.
Lors de la rencontre, nous avons pu lui posé toutes nos questions sur son métier. Nous avons réalisé qu’elle utilisait différentes techniques en fonction des albums : collage de papiers, peinture, coloriage aux feutres ou crayons de couleur, encre de chine, dessin assisté par ordinateur…
Nous avons découvert des planches originales de l’album. Elle nous a ensuite proposé de nous mettre à sa place et de réaliser une première de couverture à partir d’un petit texte.
Nos œuvres sont exposés à la médiathèque d’Ercé-près-Liffré.
Cette rencontre rare a été appréciée par tous les élèves.