Les hiéroglyphes en période 3

Après avoir étudié l’invention de l’écriture dans l’Antiquité, nous avons joué aux scribes égyptiens qui traçaient des hiéroglyphes sur des tablettes de cire ou sur du papyrus. Nous avons utilisé de la pâte à modeler pour remplacer la cire et réaliser notre support. Il a fallu plusieurs fois pour obtenir une tablette plate et rectangulaire.
Puis nous avons tracé notre prénom avec des allumettes ou la pointe des ciseaux. On peut voir les détails des hiéroglyphes, souvent des animaux.

Chaque hiéroglyphe représente une lettre de notre alphabet.

L’Avent

Pour préparer l’Avent, chaque classe a fabriqué des couronnes. Comme toujours ce sont des moments de partages et d’échanges. Tous ensemble nous avons allumé la première bougie de marche dans l’Avent.

Nous avons terminé cette marche de l’Avent avec l’école par la célébration de Noël à l’église où nous avons apporté nos couronnes. Nous avons également apporté des flammes, symbole de lumière, où nous avions écrit des messages de tolérance.

Nous sommes allés voir le spectacle de Noël.

Nous avons décoré le sapin et la cour de l’école.

Partage d’un chocolat chaud et d’une brioche.

Enfin nous terminons la période par la soirée de Noël que nous avons préparée en réalisant des décorations et en préparant des chants.

Joyeux Noël et bonne année !

Le mouvement dans l’art

Nous avons étudié différentes œuvres d’art dont le point commun était le mouvement (peinture rupestre, « l’homme qui marche » de Giacometti, « Nu descendant l’escalier » de Marcel Duchamp)

Nous avons ensuite réfléchi sur la question : Comment peut-on créer du mouvement ?

Nous avons conclu qu’il fallait donner une impression de dynamisme, de légèreté comme pour « L’homme qui marche » ou bien superposer plusieurs images les unes sur les autres comme pour la peinture rupestre et « Le nu descendant l’escalier ».

A partir de cette dernière conclusion, nous avons étudié le travail de Etienne-JulesMarey et Eadweard Muybridge sur la chronophotographie.

Nous avons pu constater qu’une succession d’images pouvait créer le mouvement et conclure qu’un film n’est qu’une succession de photographies (24 images par secondes).

Nous avons terminé ce travail par la réalisation de flip-books.